Pèlerins d’espérance
Le “Jubilé” est une année spéciale.
Le premier Jubilé, fut convoqué par le pape Boniface VIII en 1300, il fut également appelé «Année Sainte» parce que c’est un temps où l’on expérimente que la sainteté de Dieu nous transforme. La cadence des Jubilés a changé au fil du temps: au début, tous les 100 ans; puis 50 ans et à 25 ans en 1470 par Paul II. Le Jubilé offre des occasions spéciales comme l’Année de la Miséricorde en 2015. La célébration implique des rituels tels que la visite aux Basiliques romaines ou le passage par la Porte Sainte, offrant l’indulgence plénière.
Le pape François a annoncé un jubilé à Rome en 2025. Il succède au Grand jubilé de l’An 2000 proclamé par Saint Jean-Paul II et au jubilé extraordinaire de la Miséricorde (2016) pour commémorer la fin de la clôture du Vatican II (1962-1965).
En vue de l’année Sainte 2025, la devise choisie par le Pape est « Pèlerins de l’espérance ». Une thématique chère au pape François qui revenait lors du Jubilé de la Miséricorde. Mgr Rino Fisichella, président du Conseil pontifical pour la promotion de la nouvelle évangélisation est chargé de l’organisation du jubilé 2025.
Différents tons sont organisés afin de permettre à chacun de franchir la porte sainte selon la tradition jubilaire. Fermé en « Temps ordinaire », la porte sainte de la basilique Saint-Pierre s’ouvrira avec le Pape. Les pèlerins la franchiront pour recevoir l’indulgence plénière et le pardon des fautes.
Les dates du Jubilé des Jeunes : du lundi 28 juillet au dimanche 3 aout 2025 à Rome – avec le diocèse de Lille, nous proposons un départ dés le samedi 26 juillet et un retour le lundi 4 aout.
Le logo du Jubilé
Il représente quatre figures stylisées pour indiquer l’humanité venant des quatre angles de la terre. La première en tête est agrippée à la croix. C’est le signe non seulement de la foi qu’elle embrasse, mais aussi de l’espérance qui ne peut jamais être abandonnée parce que nous en avons toujours besoin et surtout dans les moments de grande nécessité. on y vois aussi des vague représentant des eaux, pas toujours tranquilles, l’ancre est là utilisée comme métaphore de l’espérance.